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Ali Ahmed dit Doudou et la photographie I Une passion, une carrière, une vie…

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De l’Alliance française de Moroni à la galerie Cad-art en passant par la medina de Moroni à l’Inde, Doudou perse les mystères du troisième art et se fait un nom dans le milieu. Une de ses flashs trône d’ailleurs dans la collection privée du musée de la soie de Hangzhou en Chine.

 

Entré dans la photographie en 2008 à travers un projet du Pnud, le natif de Moroni a rapidement pris goût à immortaliser tout ce qui bouge et à raconter son histoire et celle des autres avec ses crépitements. Depuis, il sillonne les festivals et expositions nationales et internationales jusqu’à ce premier Prix, le «Simbo national» du Facc.
Inspiré par des légendes comoriennes comme feu Mbaraka Sidi, Doudou tente de suivre leurs pas. «Bien que je sois entré dans la photographie en 2008, j’ai toujours baigné dans le milieu et il m’est naturel aujourd’hui d’en faire carrière», assure le successeur de Zainou El Abidine au Prix Simbo national.


De l’Alliance française de Moroni à la galerie Cad-art en passant par la medina de Moroni à l’Inde, Doudou perse les mystères du troisième art et se fait un nom dans le milieu. Une de ses flashs trône d’ailleurs dans la collection privée du musée de la soie de Hangzhou en Chine.


«C’est en 2012 avec mon exposition «Moroni spirit» sur le patrimoine, que j’ai commencé à bénéficié de visibilité. Cette première expo m’a ouvert les portes du Festival d’arts contemporains dont je suis à ma troisième participation. Maintenant, il faut continuer à y croire et penser aussi sur comment faciliter le travail aux plus jeunes», a-t-il pris l’habitude de marteler.

En attendant, bonne route, champion!

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