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Délégations des jeux de la Cjsoi à Djibouti : Des jeunes comoriens un peu partout

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allait être dévié par Damien trompant le gardien comorien Chaarani Ibrahim Mohamed. Arbabidine devait égaliser le score à un partout. L’enfant de Mbashile formé à Mitsudje était resté dans les souvenirs de ses anciens coéquipiers du centre Olympafrica de la même ville. “Nous y avons grandi ensemble. C’est un garçon gentil avec lequel nous avons joué pendant plusieurs années avant qu’il ne parte pour La Réunion. Le voilà qui vient nous poser tous les problèmes du monde”, a lâché son ancien pote de l’Olympafrica de Mitsudje et attaquant des Cœlacanthes, Saïd Andjilane. Ce numéro 11 de la sélection cadette de La Réunion est né à SaintClotilde, le 22 octobre 2001. “J’ai joué à Pouzzolane de Mbashile avant de venir m’installer à La Réunion. Que je me sois retrouvé, ce lundi, face aux Comoriens, fait partie des hasards de la vie. J’ai aidé mon équipe à remporter le match et je suis fier de l’avoir fait”. Excellents jeux ! L’échec des Comoriens a enfoncé davantage les Cœlacanthes. Ils ont, désormais, un point comme les Mauriciens. Les Réunionnais, premiers du groupe ont six points contre deux points pour la formation de la jeunesse mahoraise, deuxième du groupe. La sélection de l’île comorienne de Mayotte occupée a confié le brassard à un natif de Shuwani à Ngazidja en la personne de Nazim Combo. Sa mère est originaire de cette localité du Hambuu. “J’ai fais le choix de jouer à Mayotte”, devait-il préciser. Il a, donc, disputé “à fond” son premier match contre la sélection des trois autres îles de l’Union qui s’est soldée par le score de un but par tout. Les Malgaches ont, eux aussi, leurs jeunes originaires des Comores. Mais, eux, n’affichent pas nécessairement leurs identités d’origine. On peut dire que, quelque part, les Cœlacanthes cadets, toutes disciplines confondues, s’opposent à leurs frères et sœurs comoriens qui représentent les autres îles, Madagascar et La Réunion pour ne citer que celles-là. A tous et toutes Al-watwan souhaite d’excellents jeux. Elie-Dine Djouma Le principal auteur de la victoire de l’équipe réunionnaise contre les Cœlacanthes (2-0) a été un jeune originaire de Mbashile au centre de Ngazidja. D’autres délégations à ces Onzièmes Cjsoi alignent des originaires des trois îles libres de l’Union des Comores. Certains l’affichent, d’autres se sont faits plus discrets.

Lors de leur seconde rencontre du tournoi de football, les Cœlacanthes cadets ont subi les assauts et la rigueur du beau jeu d’un “enfant” bien de chez nous.

“Je suis originaire des Comores, mais je joue avec fierté pour La Réunion”, devait confirmer le jeune homme originaire de Mbashile. Les Cœlacanthes des moins de 17 ans ont été, au total, défaits, deux buts à un, lundi soir par la sélection de l’île de La Réunion conduite, sur la pelouse, par le Comorien Bacary Saïd Toufeily sur la pelouse du stade du Centre technique national de Djibouti.

Ce dernier a été l’auteur du but de la victoire. Mais ce n’est pas tout. Notre jeune compatriote a été, en outre, le passeur décisif du premier but signé en première période par Damien Albora. Bacary Saïd a exécuté un coup franc depuis les quarante-cinq mètres qui allait être dévié par Damien trompant le gardien comorien Chaarani Ibrahim Mohamed. Arbabidine devait égaliser le score à un partout.

L’enfant de Mbashile formé à Mitsudje était resté dans les souvenirs de ses anciens coéquipiers du centre Olympafrica de la même ville. “Nous y avons grandi ensemble. C’est un garçon gentil avec lequel nous avons joué pendant plusieurs années avant qu’il ne parte pour La Réunion. Le voilà qui vient nous poser tous les problèmes du monde”, a lâché son ancien pote de l’Olympafrica de Mitsudje et attaquant des Cœlacanthes, Saïd Andjilane.

Ce numéro 11 de la sélection cadette de La Réunion est né à Saint Clotilde, le 22 octobre 2001. “J’ai joué à Pouzzolane de Mbashile avant de venir m’installer à La Réunion. Que je me sois retrouvé, ce lundi, face aux Comoriens, fait partie des hasards de la vie. J’ai aidé mon équipe à remporter le match et je suis fier de l’avoir fait”.

Nous avons aussi noté que la sélection de football de l’île comorienne de Mayotte a confié le brassard à un natif de Shuwani à Ngazidja en la personne de Nazim Combo. Sa mère est originaire de cette localité du Hambu.

“J’ai fais le choix de jouer à Mayotte”, devait-il préciser. Il a, donc, disputé “à fond” son premier match contre la sélection des trois autres îles de l’Union qui s’est soldée par le score de un but par tout.

Les Malgaches ont, eux aussi, leurs jeunes originaires des Comores. Mais, eux, n’affichent pas nécessairement leurs identités d’origine.

On peut dire que, quelque part, les Cœlacanthes cadets, toutes disciplines confondues, s’opposent à leurs frères et sœurs comoriens qui représentent les autres îles, Madagascar et La Réunion pour ne citer que celles-là.