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 Le technicien dans un air mélancolique, il a révélé que "j’ai tiré une seule raison dans cette histoire. Ngazi gène certains pour avoir dominé depuis trois ans le football anjouanais. Mais pourquoi, on ne fouille pas les identités de tous les expatriés, les Ivoiriens, Camerounais, Tanzaniens et Malgaches et Kenyans qui évoluent à Moroni, Fomboni et à Mtsamdu ya Ndzuani ?"
 Dimanche 16 novembre, la Commission d’éthique de la Fédération de football des Comores a indiqué sur son procès-verbal que pour "l’affaire opposant la ligue de Ndzuani au club Ngazid sport de Mironsti et vice versa, les licences des joueurs susvisés sont retirés et le club Ngazi sport est rétrogradé en division inférieure (D2) pour la saison 2018 -2019".
 L’affaire en question tournait au tour des identités des expatriés malgaches du club de Mirontsi. Engagé comme consultant de la formation anjouanaise, Ali Mohamed Chahidi a intervenu en disant que "le football est un jeu de transparence.
 La Commission d’éthique n’a pas à s’initier dans histoire du genre. En réalité ces joueurs sont en règle car pour établir leurs licences, ils ont présentés des cartes d’identité nationale. Sinon Keba ne serait jamais un Coelacanthe".
 Aujourd’hui, Ngazi s'est imposée devant Belle lumière de Djwaezi pour le compte de la deuxième demi-finale de la coupe des Comores. Ngazi s’opposera mercredi en finale à Miracle de Maweni.
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